Les micro-crèches poursuivent leur développement sur l'agglomération

Depuis plus de deux ans maintenant, les ouvertures de micro-crèches se multiplient sur l'agglomération. Exemple avec Thérèse Salado Majnoni, directrice de P2J, qui souhaite ouvrir une nouvelle micro-crèche à Dijon, grace au financement partificipatif.

Publié : 2 mars 2015 à 15h14 par 45

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Depuis plus de deux ans maintenant, les ouvertures de micro-cr�ches se multiplient sur l'agglom�ration. Exemple avec Th�r�se Salado Majnoni, directrice de P2J, qui souhaite ouvrir une nouvelle micro-cr�che � Dijon, grace au financement partificipatif.

Le concept de la micro-cr�che n'est pas nouveau dans l'agglom�ration. D�s 2012, certains avaient senti le filon et avaient propos� des gardes d'enfants par petits groupes (maximum 10) avec des amplitudes horaires souvent plus large que les cr�ches collectives traditionnelles.

"Nous ne somme pas en opposition aux cr�ches collectives. Au contraire, nous en sommes le compl�ment. Il n'y a pas assez de place dans ces cr�ches, et nous proposons une ouverture jusqu'� 20h, ce qui est plus pratique pour certains salari�s" nous confie Th�r�se Salado Majnoni, responsable de P2J et qui g�re d�j� 3 micro cr�ches priv�es � Dijon.

Autre avantage rendu possible par le nombre restreint d'enfants dans le groupe selon Th�r�se, le d�veloppement personnel des bambins : "Avec seulement une dizaine d'enfants � s'occuper, chaque individu est bien surveill�, et les activit�s ludiques sont faciles � mettre en place."

Preuve du succ�s de ces cr�ches nouvelle formule, la g�rante souhaite aujourd'hui en ouvrir une nouvelle au centre- ville. Victime d'un d�gat des eaux qui retarde ses travaux, elle a soumis son projet � financement participatif sur le site bulbintown.com, et cherche � r�colter 7000 euros. En contrepartie, elle propose des heures de gardes dans la cr�che qui ouvrira. " Le financement participatif permet d'impliquer les parents dans l'ouverture de cette cr�che, de ne pas toujours demander aux banques de nous soutenir, mais �galement de prendre le pouls de l'int�ret du public pour l'ouverture d'une micro cr�che dans ce quartier ".

Si elle ne parvient pas � obtenir les 7000 euros en temps voulu (jusqu'au 1er Avril), Th�r�se assure ne pas baisser les bras. "Ca sera forc�ment plus compliqu�, mais on se d�brouillera. On va ouvrir, c'est un concept dans lequel on croit et qui a fait ces preuves."

Pour soutenir le projet de micro-cr�che de Th�r�se Salado Majnoni, rendez sur la page de son projet sur bulbintown.com en cliquant ici.



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