Ouverture de la saison culturelle à Quetigny

La saison culturelle de la ville de Quetigny débute ce samedi avec des concerts et des animations prévus dans différents endroits de la ville. L’accès y est gratuit mais le port du masque est bien évidemment obligatoire.

12 septembre 2020 à 5h00 par la rédaction

K6 FM
Le groupe Gadjo Divio se produira ce samedi soir � 19h et 20h sur la place centrale Roger-R�mond
Crédit : DR

À 17h Place Albert-Camus et à 19h30 Place centrale Roger-Rémond : « The Floor », par la cie MehDia Danse hip-hop

Dans l’espace public, hommes, femmes, petits, grands aux différentes personnalités, passent, marchent, se croisent, s’observent, se bousculent ou se reconnaissent. Un regard, une poignée de main, une tape sur l’épaule, des moments de rencontre... Les danseurs nous racontent la vie qui se joue dans l’intimité des cafés : entre joie, convivialité, bonheur des uns, aigreur, colère ou désespoir des autres... Le travail dans l’espace public permet de situer le propos artistique cette fois-ci à la terrasse d’un café. La terrasse étant un lieu entre la vie quotidienne et l’intérieur du lieu, plus intime

Attachée aux valeurs de rencontre et d’échange, la compagnie MehDia est engagée dans son rapport à l’autre, aux autres et au corps. À travers la danse, Mehdi Diouri, son chorégraphe, explore l’homme, son histoire, son parcours, sa singularité et porte son regard sur l’intime pour traiter de la relation des hommes entre eux.

À 19h et 20h Place centrale Roger-Rémond : Concert Gadjo Divio (Jazz manouche)

Gadjo Divio, ce sont quatre p’tits gars dijonnais qui interprètent à leur sauce les grands classiques du jazz manouche. Et ça fait bien du plaisir dans les oreilles ! Ils viennent diffuser la chaleur et la joie distillées par leur musique pour une belle soirée ! Gadjo Divio remplace la compagnie belge Be Flat, empêchée par les circonstances de venir jusqu’à nous.

À 21h Place Abbé-Picard « Focus » par La salamandre (Spectacle de feu et de pyrotechnie)

Un spectacle foyer d’humanité qui sonde nos pulsions à « jouer avec le feu ». Car chaque homme est une flamme unique, mouvante, imprévisible. L’élément naturel, sans rien perdre de sa capacité d’émerveillement et de fascination devient ici le partenaire d’une parole, dans une approche aux corps, résolument dansée.

La compagnie La Salamandre est née à Besançon en 1990 : à l’origine, une dizaine d’amis passionnés de musique, de danse et de pratiques circassiennes. Attirés par les arts de la rue, pratique qui s’inscrit à l’époque dans un renouveau de la culture populaire, ils investissent ce nouvel espace d’expression et développent leur identité artistique. Au fil du temps, ils s’ouvrent et se forment à diverses disciplines corporelles comme les arts martiaux, la danse, l’acrobatie. Le corps, allié à la musique, devient le premier moyen d’expression de leur travail artistique. 




}