Politique : quelle place pour la santé dans le programme des candidats ?

Alors que les équipes des politiques sont en pleine campagne, la Mutualité Française Bourgogne-Franche-Comté souhaite interpeller les candidats à la présidentielle et faire connaître leur programme sur la santé. Un rendez-vous public est prévu ce mardi à Dijon.

Publié : 13 mars 2017 à 16h31 par 45

K6 FM

Alors que les équipes des politiques sont en pleine campagne, la Mutualité Française Bourgogne-Franche-Comté souhaite interpeller les candidats à la présidentielle et faire connaître leur programme sur la santé. Un rendez-vous public est prévu ce mardi à Dijon.

�?conomie, Europe, Immigration, Fonctionnaires... les sujets de débats entre les candidats à l'élection présidentielle ne manquent pas. Ces dernières semaines, le thème de la santé a lui aussi été abordé, mais la polémique a souvent flouté les propositions des uns et des autres. Qu'en est-il vraiment en matière de santé ? 

L'antenne régionale de la Mutualité Française aimerait une réponse des candidats sur cette question. Elle a donc lancé depuis mardi 7 mars les rendez-vous « Place de la santé », organisés tout le mois dans la région avec les représentants locaux des candidats à l'élection présidentielle.

Le quatrième et dernier rendez-vous se tiendra ce 14 mars à Dijon, au sein du Pavillon Bacchus du Parc Valmy, en présence de Rémi Delatte (Les Républicains), Jérôme Durain (Parti Socialiste), Pierre Fumoleau (Macron - En marche), Catherine Hervieu (EELV).

« L'objectif est de lever le voile sur les programmes des uns et des autres. Nous décrypterons les propositions de tous les candidats sans exeption, avant d'interroger et de proposer le débat avec les représentants des forçes en présence » explique Bruno Herry, le président en Bourgogne-Franche-Comté. « Si on parle bien de la santé dans cette campagne, on n'aborde pas forcement les sujets qui constituent les principales préoccupations des Français, selon notre sondage. Nous somme donc là pour redonner cette chance aux citoyens d'interpeller directement les représentants.»

Yoann Olid



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